- #théâtre
ADN Acide DésoxyriboNucléique
texte de Dennis Kelly, mise en scène de Yohan Bret
10 > 11.06.2016
- Hors les murs - La Colline - théâtre national
dans le cadre du Festival Impatience
Tenter de se construire dans un monde inquiétant, essayer de vivre normalement après avoir commis l’irréparable. Telle est l’ambition de nombreux personnages de Dennis Kelly.
Tarifs
- plein tarif 28 €
- tarif réduit 25 €
- tarif abonné 104 20 €
- tarif groupe + d'infos
billetterie :
→ en ligne
→ 01 53 35 50 00
→ billetterie@104.fr
Infos pratiques
Pass Impatience : 30 € / 25 € (réduit)
durée : 1h15
Dans Orphelins ou dans ADN, ici mis en scène par Yohan Bret, la pièce commence comme souvent par un fait divers. Un groupe d’adolescents prend un camarade de classe comme bouc émissaire, et finit un jour par "déraper". ADN retrace l’histoire de ces jeunes gens partis en forêt pour torturer l’un des leurs jusqu’à le laisser pour mort, et leur vie après ce drame. Cette pièce d’une tension inouïe (publiée à l’Arche), aborde pêle-mêle les questions du remords et de la culpabilité jusqu’à la panique ou la folie. Pose l’hypothèse du non-retour…
Après Les Lueurs de la rue Cuvier (2011), Yohan Bret crée ADN par intérêt pour les qualités littéraires du texte bien sûr : langage cru, écriture précise et incisive, en prise directe sur le monde d’aujourd’hui et dans la lignée des auteurs du courant in-yer-face qui domine la scène anglaise depuis les années 1990. Mais aussi pour parler de la jeunesse, de l’univers de l’adolescence qui tangue entre fièvre destructrice et énergie collective. Angoisse, égoïsme et violence se bousculent dans ces âmes perdues qui tentent de se construire un futur.
Distribution
mise en scène : Yohan Bret
assisté de : Léa Hernandez Tardieu
création musicale : Amine Bouzidi
création décors : Claire Saint-Blancat, Claire Daulion
création lumière : Ludwig Elouard, Rémy Surget, Yohan Bret
création vidéo : Romain Gaboriaud
sur le plateau : Yohan Bret, Laura Chapoux, Julien Cussonneau, Julie Mouchel, Manon Rivier, Augustin Roy, Victor Ginicis
aux machines : Claire Daulion, Romain Gaboriaud, Ludwig Elouard
crédits musicaux : Presque l’amour et Apoplexie