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Le Tambour de soie
Un Nô moderne
Avant-première
ANNULÉ / REPORTÉ
dans le cadre du Festival Séquence Danse Paris
Projet conçu et interprété en binôme par la danseuse et chorégraphe japonaise Kaori Ito avec son maître et ami Yoshi Oïda, âgé de 86 ans, Le Tambour de soie s’inspire d’une pièce traditionnelle de théâtre nô et de sa version moderne de Yukio Mishima. Conjuguant intimement texte, danse et musique, une fable à portée universelle sur la relation de transmission entre deux êtres.
Tarifs
- plein tarif 20 €
- tarif réduit 15 €
- tarif adhérent 12 €
- tarif abonné 12 €
- tarif groupe + d'infos
billetterie :
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→ billetterie@104.fr
Infos pratiques
abonnement : spectacle de la liste
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D’un côté, Kaori Ito, figure montante de la danse contemporaine, aux abords de la quarantaine. De l’autre côté, Yoshi Oïda, acteur chevronné et nettement plus âgé. « Il a 86 ans et il est très en forme, déclare Kaori Ito. Il continue d’apprendre beaucoup de choses et j’apprends énormément de lui sur la vie, le travail et le Japon. » Amis depuis bientôt dix ans, ils ont ressenti le désir de créer une pièce à deux, d’être sur scène ensemble. Baptisé Le Tambour de soie, leur projet commun est inspiré par une pièce traditionnelle de théâtre Nô, connu en France par sa version moderne de Yukio Mishima, elle met en scène une histoire tragique de désir où le tambour de soie apparaît comme l’instrument fatidique du destin. Conjuguant intimement texte (écrit par Jean-Claude Carrière), danse et musique, Kaori Ito et Yoshi Oïda façonnent une fable à la singularité envoûtante, centrée sur la relation de transmission « entre une femme qui se sent vieillir et un homme âgé qui se sent jeune. »
Distribution
mise en scène et chorégraphie : Kaori Ito et Yoshi Oïda
avec : Kaori Ito, Yoshi Oïda et Makoto Yabuki (percussions)
texte : Jean-Claude Carrière
musique : Makoto Yabuki
lumières : Arno Veyrat
costumes : Aurore Thibout
couleurs textiles : Aurore Thibout et Ysabel de Maisonneuve
collaboration à la chorégraphie : Gabriel Wong
collaboration à la mise en scène : Samuel Vittoz
