- #musique
+ Koudlam / Malice K
04 > 05.03.2025
dans le cadre des Inrocks Festival
Après avoir connu le succès avec The Strokes au début des années 2000, Julian Casablancas s'est lancé dans un nouveau voyage musical en 2014. Avec The Voidz, le groupe incarne sa vision d'une musique nerveuse, éclectique et agressive, conçue pour le plus grand nombre tout en remettant en question les normes.
+ 04 mars : Koudlam
+ 05 mars : Malice K
Tarifs
tarif 04 mars : 50,99 €
tarif 05 mars : 53,05 €
Horaires
- mar. 04 mars 19h30
- mer. 05 mars 19h30 complet
Infos pratiques
concert debout
bar, petite restauration et vestiaire sur place
ouverture des portes : 19h30
début des concerts : 20h30
fermeture des portes : 00h
Pass 104infini
- Profitez dès maintenant de -30 à -50% sur vos billets pendant 1 an, et tellement d'autres avantages !
Au programme
The Voidz
Suite à une tournée solo en 2010, Julian Casablancas s'est associé à Alex Carapetis (batterie), Jeff Kite (clavier), Jake Bercovici (basse/clavier), Beardo (guitare) et Amir Yagmai (guitare) et l'alchimie a été instantanée entre ces six musiciens. Après deux albums (Tyranny en 2014 et Virtue en 2018) aux sensibilités pop mutantes, mises en évidence par des collaborations avec des artistes aussi divers que Daft Punk ou Mac DeMarco, leur troisième album, Like All Before You sorti en 2024, surprend par son mélange d'âpreté et de beauté.
Koudlam (04 mars)
Pour le premier des deux concerts de The Voidz, c’est donc Koudlam, choisi par Julian Casablancas lui-même, qui aura l’honneur d’ouvrir le festival dans la Nef du CENTQUATRE-PARIS. Deux ans après la sortie de son diptyque Precipice Fantasy, le producteur français pas comme les autres promet un live apocalyptique, comme à son habitude.
Malice K (05 mars)
Une fois tous les dix, quinze ans, l’Amérique nous gratifie d’un jeune type habité par un génie fracassé : Kurt Cobain, Elliott Smith, Julian Casablancas. On a vite fait de classer Malice K dans cette filiation. Toute ressemblance avec le leader de Nirvana époque In Utero (1993) étant par ailleurs fortuite, Alexander Konschuh, de son vrai nom, a 28 ans et nous vient d’Olympia, Washington. Son itinéraire est grunge, voire carrément beat. Né de parents teenagers et biberonné au son de la capitale du rock alternatif, il se met d’abord au dessin, avant de partir à 18 ans, au gré des vents, sur la route à la Kerouac, puis de vivre un temps dans une communauté dans le désert. Aujourd’hui établi à Brooklyn, il a sorti deux EP dans une veine nineties et un album, Avanti, signés sur le prestigieux label indé Jagjaguwar, qui sonne déà comme un classique de l’indie made in USA.